Ponpen Poossone

Idrissa Diao sur son champ de coton avant la recolte. Sare Mansaly, 6 km de Velingara. Dans le village, les agriculteurs cultivent le coton, l’arachide, le mais principalement. Le coton demande beaucoup de pesticides car il est attaque par de nombreux parasites.

Ousmane Balde, agriculteur des grandes cultures (arachide, riz, mais) se lance dans le maraichage sur cette parcelle de 2 haa Sare Yeroyel. il teste ici son systeme d’irrigation. il utilise des herbicides, insecticides et des engrais foliaires (ceux-ci sont cependant difficiles a trouver sur le marche subventionne par l’Etat).

Les sacs d’engrais prêts à l’emploi, jonchent le champ d’une exploitation maraichere sur les berges du fleuve Gambie. Foudou, 75 km nord-est de Velingara. Le responsable d’exploitation répand du fumier chaque 10m2, mais celui-ci attire tant de termites qu’il diffuse de l’insecticide. Avant le labour, il applique de l’engrais azoté. Ce champ qui appartient à un propriétaire résidant dans une grande ville régionale donne l’opportunité aux jeunes de la région de trouver un travail.

Cherif Ganou s’occupe de la pulverisation des substances chimiques sur son exploitation maraichere de 3ha sur les berges du fleuve Casamance. Sare Koutayel, 35 km de Velingara. Il alterne le traitement chimique et le traitement bio. Au debut des semi il utilise les substances chimiques, puis a la pousse, il passe au bio. Car il connait les effets nefastes et ne veut pas empoisonner les acheteurs et lui-meme, puisqu’il consomme ses propres produits.

Champ de riz d’Amadou Sadio Sidibe apres la recolte. Sare Madia Mballo, 35 km de Velingara. Il utilise des herbicides, du glyphosate de l’engrais granule, car sans cela le riz se melangerait avec les mauvaises herbes et cela affecterait son developpement.

Champ de coton avant la recolte. Sare Mansaly, 6 km de Velingara. Dans le village, les agriculteurs cultivent le coton, l’arachide, le mais principalement. Le coton demande beaucoup de pesticides car il est attaque par de nombreux parasites.

Boris Stephane Demba, procede a la semence d’engrais granule et a l’irrigation sur une exploitation maraichere de 3ha. Il répand du fumier chaque 10m2, mais celui-ci attire tant de termites qu’il diffuse de l’insecticide. Avant le labour, il applique de l’engrais azoté. Ce champ qui appartient à un propriétaire résidant dans une grande ville régionale donne l’opportunité aux jeunes de la région de trouver un travail.

Installation d’irrigation pour la bananeraie de la cooperative villageoise, comme il existe plusieurs sur les berges du fleuve Goulombou. Foudou, 75 km nord-est de Velingara. Leur utilisation de produits chimiques se concentre sur la fertilisation du sol sableux et sec. Ils utilisent de l’engrais foliaire NPK 10.10.20 (mélange d’azote, de phosphore, de potassium) et de l’urée, un engrais classique à l’azote, couplés à de l’engrais organique (fumier). Pour satisfaire les besoins de leur surface, ils vont jusqu’à la frontière de Guinée pour récupérer la bouse des élevages

Malang Konte, president de la cooperative bananiere de Foudou et Hadji Bouaro posent dans leur exploitation de 32,5 ha sur les berges du fleuve Gambie. Foudou, 75 km nord-est de Velingara. ils utilisent de l’engrais uree et azote pour fertiliser, couple a du fumier. ils desherbent a la machette ou la daba.

Arbre tue par le defrichage au feu sur l’exploitation maraichere de Cherif Ganou sur les berges du fleuve Casamance. Sare Koutayel, 35 km de Velingara. Il alterne le traitement chimique et le traitement bio. Au debut des semi il utilise les substances chimiques, puis a la pousse, il passe au bio. Car il connait les effets nefastes et ne veut pas empoisonner les acheteurs et lui-meme, puisqu’il consomme ses propres produits.

Amadou Sadio Sidibe s’occupe de la pulverisation des substances chimiques sur son exploitation de riz. Sare Madia Mballo, 35 km de Velingara. Il utilise des herbicides, du glyphosate de l’engrais granule, car sans cela le riz se melangerait avec les mauvaises herbes et cela affecterait son developpement.

Il s’agit de constater comment les agriculteurs utilisent des pesticides au Sénégal en explorant les paysages du Fouladou, région agricole importante au sud du Sénégal dans un contexte mondial controversé. Cette zone est réputée pour ses activités agricoles variées, allant de la culture de céréales à l’élevage de bétail. Les communautés agricoles de la région contribuent significativement à la production alimentaire du pays. Les exploitations maraîchères jouent un rôle crucial dans la production de fruits, légumes et autres cultures essentielles, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire de la région en période hivernale. Les bananeraies, quant à elles, offrent un aperçu intéressant de la production de fruits tropicaux.